Un fédéralisme plus radical pour l’écologie

L’arrivée d’un ancien président du lobby suisse du pétrole, Albert Rösti, à la tête du Département de l’environnement (entre autres) n’est pas réjouissante pour l’avenir de la politique écologique à la Bundesplatz, mais il est nécessaire d’aller au-delà de l’individu pour questionner nos institutions. Celles-ci n’ont jamais pris le parti de l’écologie. Il n’est pas nouveau que des intérêts d’entreprises se retrouvent au sein du gouvernement fédéral. Pouvoir économique et pouvoir politique ont toujours su faire bon ménage en Suisse.

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